Bruxelles, dans ce quartier utopique des Affaires le jour, au nom intriguant de Bolivar, le temps semble figé sur le pagne résolument moderne d’une maman africaine immobile occupée à la lecture sur son smartphone. Pendant ce temps, un cycliste passe comme pour combler cette vue en ville. La solitude tranquille de chacun contredit l’expression textile au goût d’art contemporain.
La Dernière Marche
Au Vendeur d’Opium, 2016
Bruxelles, Gare Centrale, sur le boulevard de l’Impératrice, comme indiqué, le photographe malade en quête d’une pharmacie lève les yeux et voit telle une apparition divine, un crucifix capital près d’un bas-relief évoquant une ville révolue, sorte de rappel que la santé occupe toujours le centre comme la religion.