Perché sur un élévateur rue du Grand Hospice, bombes de spray en mains, j’ai rencontré un jour Bozko en 2018 alors qu’il terminait sa fresque. Caractère trempé, il ne voulait par trop être photographié.
L’artiste est issu de l’académie des Beaux-Arts de Sofia et son projet est d’inspirer les quartiers par un imaginaire issu des comics aux ambiances un peu noires tout en restant conforme aux attentes d’une commande d’une ville.
Ses couleurs rayonnent lorsque la grisaille l’emporte.
Dans cet environnement, le diable se trouve dans les détails comme le dit l’adage. Et en y regardant bien, des antennes de télécommunications situées autour de l’immeuble sont cachées par la force graphique de la fresque.
